Environnement pour les loisirs : valeur récréative
Description
L'un des services les plus importants des espaces verts ouverts est la récréation et le tourisme. Nous considérons ici les visites d'une journée maximum comme des loisirs et les visites avec au moins un séjour comme du tourisme.
Ce guide couvre diverses formes de loisirs et de tourisme. Outre les activités spécifiques orientées vers la nature (observation des oiseaux, étude de la nature, etc.), elle comprend également les loisirs dits doux (marche et vélo) et des activités spécifiques telles que le jeu, la marche, le VTT, la natation, la navigation de plaisance, la chasse et la pêche.
Les motifs de visite sont variés : détente et oxygénation, motifs sociaux (sorties en famille ou entre amis) et, dans une moindre mesure, motifs spécifiquement orientés vers la nature (Goossen et de Boer 2008). Le principal motif des activités telles que la chasse et la pêche est la détente et non l'acquisition de biens tels que le gibier et le poisson. Dans ce cas, les services seraient catalogués dans la catégorie des services de production.
Données d'entrée requises :
- des scores pour le relief, la qualité historico-culturelle, les nuisances sonores, la pollution de l'horizon (voir partie 3.4 pour la détermination des scores).
- utilisation des terres dans la région
- densité des chemins et sentiers
- la mesure dans laquelle les chemins font partie d'un itinéraire balisé ou non
- des installations récréatives telles que des bancs, des panneaux d'information, des centres d'accueil, etc.
- le nombre de marcheurs, de cyclistes, de personnes arrivant en voiture et de touristes dans la zone actuelle.
Ces données sont toutes tirées de cartes pré-calculées dans l'outil (voir partie 3.4).
Les éléments définissant la quantité et la qualité des zones récréatives par maille de 100x100 mètres sont définies sur base d’une somme de scores attribués à chaque maille du territoire en fonction de :
- pour les scores positifs :
- sa diversité de couvert,
- la proximité de l’eau,
- ses qualités paysagères,
- la présence de zones culturelles ou historiques,
- la densité des sentiers publics,
- la densité de chemins balisés,
- la présence d’infrastructures pour accueillir les visiteurs.
- pour les scores négatifs :
- la quiétude,
- la proximité de zones industrielles ou fortement bâties,
- les perturbations visuelles.
La demande pour les activités récréatives à vocation naturelle (en visites par an) sont définies comme la somme du :
- nombre de visites par habitant, réparties en visites locales (à pied et à vélo) et supra-locales, et extrapolé au nombre total d’habitants,
- nombre total de touristes (personnes séjournant au moins une nuit) à vocation ‘nature’ uniquement (entrées dans des attractions à vocation ‘naturelles’ ou pourcentage des nuitées totales sur base d’une enquête auprès des touristes).
Figure: Modèle récréatif (adapté de De Nocker et al. 2016)
Les facteurs de l’offre ont été caractérisés pour la Wallonie sur base des données cartographiques présentées dans la partie 3.4. Il s’agit ici de décrire comment la demande a été caractérisée pour l’ensemble de la Wallonie et comment elle a été répartie sur le territoire sur base des facteurs de l’offre.
L’étude de De Nocker et al. (2016) tirée du projet ECOLPLAN dont s’inspire la méthodologie présentée ici a fait une revue fouillée de la littérature concernant la demande en sorties récréatives de plein air pour des activités locales (depuis le domicile), supra-locales (depuis un lieu où il a fallu prendre la voiture ou un autre moyen de transport pour se rendre et des touristes résidents (depuis un lieu de résidence touristique).
Tableau: Nombre de visites total par habitant et par an en fonction des différents types d’activité (source : traduit de De Nocker et al. 2016)
Type d'activité | Distance maximale km | Nombre de visites/personne/an Flandre | Nombre de visites/personne/an Bruxelles | |
---|---|---|---|---|
Locale | Promenade | 5 | 20 | 10 |
Locale | Vélo | 20 | 10 | 1 |
Supra-locale | Avec transport | 100 | 5 | 1 |
A notre connaissance, il n’existe pas d’études qui estime ce nombre moyen de visites par personne et par an en Wallonie, nous avons donc pris le parti de prendre les même distances moyennes pour les différents types de visites, et la valeur moyenne entre la Flandre et Bruxelles pour les nombres de visites. On a donc supposé une valeur de 15 visites locales à pied, de 3 visites locales en vélo et de 2.5 visites supra-locales par an, avec des distances de 5 km à pied pour la visite locale et de 10 km à vélo.
Ces valeurs devraient certainement être revues à la hausse depuis la crise sanitaire qui a vu notamment le nombre de visites locales exploser.
Visites locales
Le nombre de visites locales (depuis le domicile) à pied et à vélo par cellule se calcule comme illustré à la Figure 5. Le nombre de visites par maille va dépendre des facteurs suivants :
- Le nombre d’habitants dans la zone d’influence qui sont susceptibles de venir visiter la maille car leur lieu de résidence est situé à une distance de moins de 5 km (pied) ou moins de 10 km (vélo),
- Le nombre de visites locales par habitant et par an,
- La valeur du score d’attractivité de la maille comparée à l’attractivité des mailles de la zone d’influence (une maille aura d’autant moins de probabilité de venir se faire visiter qu’elle a une valeur de score faible tandis que les autres scores de la zone d’influence sont élevés),
- Le nombre de cellules qui seront effectivement parcourues par le promeneur ou le cycliste.
Figure: Illustration du principe de calcul de la répartition des visites locales sur base des paramètres du nombre d’habitants par maille, du nombre moyen de visites locales par habitant et par an, de la valeur d’attractivité de la maille et des mailles de la zone d’influence, du nombre de cellules visitées, et du nombre de cellules de la zone d’influence
Visites supra-locales
Les visites supra-locales ont ceci de particulier qu’elles doivent avoir lieu dans des zones qui sont théoriquement plus attractives pour la promenade que les zones choisies pour les sorties locales depuis le domicile. Il convient donc de sélectionner dans la carte des scores d’attractivité uniquement les zones avec un niveau de naturalité important et d’une taille suffisante. L’hypothèse prise dans cette étude est la suivante : les zones doivent être naturelles (forêts, zone naturelle, eau) et avoir une taille minimale de 15 ha. On supprime de ces zones également toutes les zones militaires, les zones fortement urbanisées et les zones autour des autoroutes et des chemins de fer.
Si le nombre de visites supra-locales par habitant et par an est de 2.5 (soit la moyenne entre la Flandre et Bruxelles) et que la densité de population et des pays limitrophes est de 241 hab/km², on obtient le nombre total de visites supra-locales par an en multipliant ces deux valeurs.
Pour pouvoir répartir les habitants sur les mailles du territoire, il faut décider du nombre de mailles que chaque habitant va parcourir lors de sa sortie. Si on considère qu’il parcourt 10 km en moyenne, cela signifie que chaque sortie va pouvoir théoriquement couvrir 100 mailles du territoire.
La formule suivante donne ensuite le nombre de visiteurs supra-locaux par maille sur base du score d’attractivité de cette maille (voir supra, facteurs de l’offre).
Où:
- : nombre de visiteurs supra-locaux dans la maille i
- Pop : densité de population de la Wallonie et des régions limitrophes
- : nombre moyen de visites supra-locale par habitant par an
- : score d’attractivité de la maille i
- S : score maximal d’attractivité de toutes les mailles
- : nombre de mailles visitées au cours d’une sortie
- M : nombre total de mailles
Visites touristiques (touristes résidents)
La logique pour l’établissement de la demande pour les touristes résidents est un peu différente que la demande en visites locales et supra-locales.
Nous sommes repartis pour estimer la demande, des données transmises par la CPDT (CREAT-ULB) sur les capacités d’hébergements touristiques en Wallonie par maille de 100 x100.
Il s’agit de données fournissant la capacité effective des hébergements touristiques wallons par maille d'1km², tous types d’hébergements confondus (et pas uniquement ceux disponibles sur Statbel puisqu’ils prennent également en compte par exemple les hébergements rendus disponibles par l’expansion de la plateforme Airbnb). La capacité effective représente d'une certaine manière une situation où tous les logements sont tout le temps complets (lorsque ceux-ci sont ouverts, puisque les fermetures hivernales des campings et la disponibilité variable des biens sur les plateformes d'échanges type Airbnb sont prises en compte dans le calcul de la capacité effective).
Pour obtenir un nombre de touristes par an, outre multiplier la valeur par 365, il faut idéalement tenir compte du taux d'occupation de chaque bien, information qui n'est pas disponible. Dans le cadre du travail de la CPDT sur les territoires touristiques, un taux d'occupation générique de 50% a été appliqué. Le nombre de touristes en séjour au sein d'une maille est donc estimé en divisant la capacité effective par deux. Cette division par deux constitue globalement une surestimation puisqu’à l'échelle de la Wallonie et en prenant en compte les hébergements suivis par Statbel, la CPDT estime un taux d'occupation de 21,4% pour 2018. On notera également que la variabilité de ce taux d'occupation est très forte entre types d'hébergements et entre hébergements au sein d'une même catégorie.
Pour pouvoir affiner ces chiffres d’occupation, la CPDT nous a fourni des informations plus précises sur les taux d’occupation par type de catégories d’établissements. On peut ainsi distinguer :
- Les hébergements de terroir ou hébergements de plateformes,
- Les hôtels et centres de tourisme social (ces derniers peuvent prendre de nombreuses formes, dont des hôtels, des gîtes voire des villages de vacances),
- Les villages de vacances, campings, aires pour motor-homes, terrains de caravanage,
- Les parcs résidentiels de weekend et résidences secondaires. Cette dernière catégorie regroupe les hébergements touristiques non marchands. Mais on retrouve aussi des secondes résidences au sein des hébergements de grande capacité de la catégorie précédente, sans qu'il ait été possible de les distinguer des autres.
Par rapport aux taux d'occupation, et selon les informations de fréquentation obtenues par la CPDT et Statbel, les taux d’occupation sont a priori autour de 20% pour la première catégorie, 30% pour la seconde et entre 10 et 15% pour la troisième, et de 20% pour la quatrième avec une forte variabilité intra-classe.
Nous avons donc appliqué ces valeurs de taux d’occupation pour chacune des classes et les avons ensuite sommées. L’estimation de la demande touristique par an est donc évaluée dans notre étude comme la somme des produits des capacités d’hébergements touristiques par classe multipliée par leur taux estimé d’occupation, multiplié par 365 (nombre de jours par an).
Il faut maintenant réussir à estimer quelle est la part de ces touristes qui recherchent réellement une activité en lien avec les espaces naturels et les loisirs récréatifs de plein air. Il semble difficile d’estimer cela en fonction des types d’hébergements. Ainsi, par exemple, si l’on analyse le lien entre les hébergements et la fréquentation des espaces naturels, on se rendra compte que ce lien est fort variable en fonction des équipements proposés au sein des établissements et à proximité de ceux-ci. Certains offrent de multiples activités, les touristes y séjournant ne vont donc que peu fréquenter les espaces de nature environnants, même si leur objectif est de prendre du temps dans la nature. C’est le cas notamment de certains campings ou certains parcs résidentiels.
Les informations pour estimer la part des touristes qui font du tourisme pour passer du temps dans la nature sont extraites du rapport du CGT (2019). Les estimations des activités pratiquées par les touristes en Wallonie montrent une estimation de 22% de promenades à pied et à vélo et 7.8% de visites des sites naturels, soit un total de 29.8% des touristes qui profitent de la nature.
C’est cette valeur qui est choisie pour ne garder que les touristes susceptibles d’être en demande d’espace de nature dans les nombres de touristes totaux estimés. Cette valeur est appliquée sur le chiffre moyen de taux d’occupation calculé ci-dessus, et ce peu importe le type d’hébergement.
La répartition de ces touristes résidents dans les mailles autour de leur lieu de villégiature se fait ensuite selon la même logique que celle des visiteurs locaux, en considérant qu’ils se rendent dans un rayon de 20 km autour de leur lieu de villégiature et qu’ils effectuent en moyenne 7,5 km de promenade.
Appréciation qualitative
La note qualitative est un score basé sur l'attractivité de la zone (offre).
Evaluation quantitative
L'évaluation quantitative correspond au nombre total de visites par an pour une zone.
Evaluation monétaire
L'évaluation monétaire est obtenue en multipliant le nombre de visites estimées (évaluation quantitative) par une valeur monétaire par visite.
La valeur récréative d’un point de vue monétaire est un indicateur des gains que les gens tirent de leur visite dans l'espace vert ouvert, et ces gains reflètent les raisons de la visite (par exemple, repos et relaxation, activité physique, expérience de la nature). Cette valeur a été déterminée sur la base d'une estimation moyenne issue de la littérature (internationale), en tenant compte de la durée d'une visite et de la distance à partir du lieu de résidence.
Un large éventail d'études est disponible sur la valeur de bien-être d'une visite aux espaces verts pour le vacancier. On peut notamment dériver la valeur que le vacancier attache à une visite des coûts et des efforts qu'il déploie pour cette visite, notamment l'«investissement» de temps libre et les éventuels frais de déplacement. Ainsi, la méthode dite des coûts de transport permet de se concentrer sur la valeur d’usage uniquement (plus particulièrement la valeur non-marchande issue de la pratique d’usages récréatifs – pêche, kayak, baignade, promenade) en partant du postulat que les dépenses engagées par le visiteur pour se rendre sur un site récréatif et pratiquer une activité de loisir est une mesure de son estimation de la valeur du bien.
Dans l’outil NVE, l'évaluation des visites est basée sur une méta-analyse de 250 études dans le monde relative à la valeur d'une visite en forêt ou en réserve naturelle (Bateman et al. 2011; Sen et al. 2012). Ces valeurs sont ensuite comparées avec les données d'autres études et les estimations propres du VITO basée sur les coûts de transport et les dépenses en temps. La valeur moyenne d'une visite considérée dans l’outil est de 4,4 € / visite (intervalle de confiance entre 3 € et 9 €).
Une distinction supplémentaire entre les visites locales (visites fréquentes et relativement courtes pour couvrir des espaces verts près de la maison, à la fois à pied et à vélo) et les visites supralocales (visites plus longues, généralement avec transport préalable) est faite dans le logiciel NVE et cette distinction n’est pas généralement faite dans la littérature présentée. L’estimation monétaire qui en résulte est une estimation réalisée par le VITO en fonction de la durée de la visite et de la distance entre le lieu de visite et le domicile.
La valeur est fixée à 1.5 € par visite locale à pied, à 3 € par visite locale à vélo, et à 12 € par visite supralocale.
Points d’attention
Les estimations présentées ici des nombres de visiteurs locaux, supra-locaux et touristes résidents représentent un premier essai de cartographie appliquée du service culturel d’environnement pour les loisirs en Wallonie. La méthodologie, issue de celle proposée en Flandre par le projet ECOPLAN, montre, en comparaison avec les données de fréquentation des massifs forestiers issues des statistiques gsm, que les estimations tiennent en grande partie la route, et ce malgré quelques différences explicables selon des hypothèses qui varient en fonction du massif considéré. Il est en effet illusoire de vouloir capter l’ensemble des habitudes et des profils de touristes et de promeneurs/cyclistes par ce genre d’évaluation, mais l’essai a le mérite d’exister, à défaut d’autres informations en provenance par exemple de points de comptage ou d’enquêtes plus fouillées.
Traduction sous forme d’indicateur
Le nombre de visites dans une région parle de lui-même. Nous traduisons davantage ce que cela signifie pour le secteur des loisirs dans la région en traduisant les dépenses effectuées par les vacanciers en nombre d'emplois créés dans le secteur du tourisme. Une visite supplémentaire est estimée à 8.35 €, ce qui correspond à 15,37.10-6 équivalent temps plein (ETP).Exemple de calcul
En Flandre occidentale, une superficie de 50 ha de terres agricoles est boisée sur 10 ha.
Une piste cyclable balisée longe la zone. Dans toute la région, il y a des pelouses agricoles. Dans toute la zone, des bancs seront installés et des panneaux d'information seront placés sur la faune et la flore locales et sur l'importance historico-culturelle du paysage.
Appréciation qualitative
Nous interrogeons les différentes cartes d'entrée pour les loisirs afin de voir quels facteurs influencent l'attractivité du paysage.
Le score de base pour le domaine actuel est de 100 x 0,005= 0,5
Celui de la future zone est de 20 x 0,01+80 x 0,005=0,6
Facteurs de l’offre : Score de base x (0,1 si eau + score pour la diversité des espèces + score pour la diversité des paysages + score pour le relief + score pour la valeur historico-culturelle - score pour la perturbation visuelle - score pour le niveau de bruit)
- Comme il n'y a pas d'eau dans la région, le facteur ‘eau’ n’intervient pas.
- Score de diversité des espèces : la zone n'a pas une grande richesse en espèces mais des mesures sont prises pour l'augmenter : 0,1
- Diversité des paysages : actuel=0 ; futur =0,2
- Score pour le relief : il n'y a pas de différence entre la situation actuelle et future :0
- La région a une certaine valeur historico-culturelle. Sur la carte d'entrée, nous trouvons un score de 0,02
- Score de la pollution à l'horizon : sur la carte d’entrée, nous trouvons un score de -0,03
- Score du niveau de bruit : sur la carte d’entrée, nous trouvons un score de 0,1
Le score total de l’offre actuelle =0,5+0,5 x (0+0+0+0,02-0,03-0)=0,45
Le score total de l’offre future = 0,6+0,6 x (0+0,1+0,06+0+0,02-0,03+0,1)=0,75
Le score maximum possible ici est de 2,75. Pour normaliser le score, nous divisons les scores totaux actuels et futurs par cette valeur maximale pour obtenir les valeurs suivantes : actuel=0,16 (0,45/2,75); futur= 0,27 (0,75/2,75)/.
Le score de densité de chemin dans la zone est de 0,3. Cela ne change rien, car les sentiers actuels sont maintenus. Il n'y a actuellement aucune installation de loisirs dans la région (score 0). A l'avenir, des bancs et des panneaux d'information seront placés en situation (score 0+0,1).
Score total pour les installations récréatives actuelles= 0,3
Score total pour les installations récréatives futures= 0,4
Le score qualitatif actuel total = (moyenne de 0,16 et 0,3) x 9+1= 3
La score qualitative actuel futur = (moyenne de 0,27 et 0,4) x 9+1=4
Évaluation quantitative
Le nombre actuel de visites basé sur les cartes des loisirs est estimé à :
- 300 visites piétonnes de résidents
- 100 visites cyclistes locales
- 50 visites supra-locales
- 30 visites de touristes
Le boisement et les installations supplémentaires rendent la région plus attrayante pour les loisirs. Le nombre de visites est estimé :
- 300 x 4/3= 400 visites piétonnes de résidents
- 100 x 4/3= 133 visites cyclistes locales
- 50 x 4/3= 67 visites supra-locales
- 30 x 4/3= 40 visites de touristes
Cela représente une augmentation d'environ 160 visites.
Évaluation monétaire
100 x 1,5€/visite + 33 x 3€/visite + 17 x 12€/visite + 10 x 12€/visite= 573€ par an
Indicateur
Emplois supplémentaires dus au boisement : (160 x 8,35 €/visite x 15,37.10-6 €)= 0,02 emplois